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  • TRIBUNE : "NOTRE PLAN POUR ALLER ENCORE PLUS LOIN DANS LA DÉCENTRALISATION"

    La République En Marche n'oublie pas les territoires ! Les députés de la majorité présidentielle, qui ont été élus dans tous les départements, y compris dans les zones rurales, sont attentifs à l'équilibre entre les grandes villes et les plus petites communes. En tant que Député de la 8ème circonscription des Bouches-du-Rhône, comme 128 de mes collègues à l'Assemblée Nationale, j'ai cosigné la tribune de Jean-François CÉSARINI, député de la 1ère circonscription du Vaucluse, publiée sur Le Huffington Post. Il dévoile "Notre plan pour aller encore plus loin dans la décentralisation". TRIBUNE Le président des villes contre les élus des territoires : ce serait donc la nouvelle ritournelle que tente d'installer le parti LR depuis quelques semaines. Regonflés par des sénatoriales mécaniquement favorables et en quête d'une nouvelle virginité en vue d'élections internes, les conservateurs surjouent la carte des enracinés contre les mondialisés. L'image paraît belle à nombre de commentateurs, s'engouffrant dans le simplisme des analyses post-Brexit ou post-Trump qui avaient exacerbé ce clivage. Sauf que cette image confère au fantasme. Tout le monde se rejoint pour constater les inégalités territoriales. Tout le monde perçoit ce décalage croissant entre les métropoles, la ruralité et les territoires intermédiaires, sans oublier l'outremer. Tout le onde constate la fracture numérique, les déserts médicaux, les difficultés de mobilité et d'accès aux services publics. L'exécutif et la majorité sont évidemment conscients de ces réalités. Lors de la campagne, rappelons que notre programme a été construit sur la base d'un diagnostic précis des réalités du pays – la Grande Marche –, qui n'avait pas manqué de mettre en lumière ces difficultés. Accuser le Président de vouloir les accentuer plutôt que les résorber est un non-sens. Factuellement, regardons la carte électorale du 23 avril dernier : l'homogénéité du vote pour Emmanuel Macron est la plus importante parmi les principaux candidats. Son score est supérieur à 18% dans tous les départements. Il est plus élevé en Creuse qu'à Nice, il est plus élevé dans les Deux-Sèvres ou les Côtes d'Armor qu'à Lille ou Montpellier. Partout le discours progressiste a eu un écho. Passons aux actes. La Conférence des Territoires, lancée le 17 juillet dernier, a fait émerger les grands axes de travail. Il y a d'abord les investissements dédiés aux territoires : la couverture très haut débit fin 2020, le doublement des maisons de santé, les nouvelles pistes d'autonomie pour les collectivités territoriales. Ensuite, le grand plan d'investissement annoncé en septembre fait aussi la part belle aux territoires : 5 milliards pour l'agriculture, 5 milliards pour les transports au quotidien, 15 milliards pour la transition énergétique. Enfin, le tissu économique des territoires ruraux et des villes moyennes étant majoritairement composé d'indépendants, de TPE et de PME, celles-ci ont eu toute l'attention des premières réformes : rénovation du dialogue social, suppression du RSI, baisses de charges, choc de simplification avec l'arrêt de la sur-normalisation et la numérisation des services publics. Il nous faut repenser les nouvelles relations à instaurer entre l'Etat et les collectivités territoriales mais aussi et surtout entre les collectivités territoriales entre elles. Nous voulons plus d'autonomie et de responsabilisation de celles-ci. Il faut changer la logique actuelle des dotations, trop souvent assimilées à de la perfusion et soumise à son corollaire délétère : le coup de rabot au gré des réductions de dépenses publiques. Il faut plus et mieux contractualiser ces relations, repenser un pacte girondin pérenne et stable au bénéfice de tous. Les économies demandées de 13 milliards d'euros aux collectivités territoriales ne seront pas imposées, elles seront à la main des collectivités en échange de plus grandes libertés : différentiation de la gestion de la fonction publique territoriale, nouveaux transferts de compétence, réflexion sur la recentralisation du financement du RSA... Le suivi de ces contrats sera accompagné d'un système de bonus/malus permettant de récompenser les efforts par un accès facilité aux financements pour investir. Bien entendu, cette nouvelle relation nécessite un dialogue permanent dans le cadre de la Conférence des Territoires pour rasséréner toutes les parties et développer une confiance mutuelle. L'Agence Nationale de la Cohésion des Territoires sera le guichet unique d'accompagnement des territoires et de simplification. Ces plans d'investissement et ces contrats de confiance sont deux piliers essentiels. Nous pensons qu'un troisième pilier est nécessaire pour que l'édifice ambitieux de l'équité territoriale que nous appelons de nos veux soit pleinement efficient et pérenne, il s'agit d'une nouvelle décentralisation. Le Président, le 17 juillet, nous en a donné l'objectif : "Les villes moyennes ont, quant à elles, à inventer un nouveau modèle de croissance hors des métropoles, s'appuyant sur les avantages sectoriels à un niveau qu'elles peuvent établir mais aussi à construire en lien avec d'autres villes moyennes une politique culturelle, économique, éducative différente. Ainsi, elles construiront une attractivité renouvelée." La première décentralisation a permis de décloisonner le diptyque Paris/Province vers un triptyque Paris/Métropoles/Ruralité. La création des métropoles régionales a permis de tirer la croissance économique des régions tout en accentuant certaines inégalités territoriales. L'erreur serait de penser l'aménagement du territoire uniquement sous l'angle de ce nouveau jacobinisme régional, asséchant les territoires au profit des métropoles. Nous voulons ainsi conjuguer l'unité de la République et la diversité de ces territoires, en droite ligne de l'article 1er de notre constitution : "La France est une République indivisible, (...). Son organisation est décentralisée." Le caractère "indivisible" ayant trop souvent été vu et vécu comme un devoir d'uniformité souvent contre-productif, c'est bien là le cœur de cette deuxième décentralisation à mener. Dans cette perspective, nous souhaitons faciliter l'éclosion de "métropoles diffuses" associant des communautés territoriales sur des compétences transverses bien spécifiques mettant en évidence tout à la fois leur singularité et leur complémentarité avec les pôles métropolitains voisins. Il ne s'agit pas d'ajouter une couche au mille-feuille territorial mais d'une liberté nouvelle de s'associer pour révéler, regrouper et optimiser les forces de nos territoires. Il nous faut admettre que chaque territoire ne pourra pas être bon en tout, partout, tout le temps. Ce n'est pas une faiblesse mais justement une opportunité pour sélectionner les domaines à développer, là où le territoire possède un avantage sectoriel. Il faut développer nos forces là où elles existent, sans se faire concurrence en interne au plan national. Le rôle de coordination de l'Etat via l'Agence de cohésion des territoires est ici important pour fédérer et optimiser toutes les initiatives. Ces associations dans le cadre de métropoles diffuses permettront également de compenser les faiblesses inhérentes aux territoires et d'agir avec équité et discernement plutôt qu'avec uniformité. On en revient ici à l'équité territoriale. Aujourd'hui le numérique permet cette déconcentration. L'essor du télétravail, de l'économie circulaire et participative, de la télémédecine sont autant d'opportunités et de leviers de croissance pour n'importe quel territoire. L'économie des deux derniers siècles, où l'on quittait son village pour aller à la grande ville manufacturer des objets, est en profonde mutation. La Silicon Valley nous a montré que la taille des entreprises n'était plus liée à la taille de la ville dans laquelle elles sont. Cupertino ou Palo Alto sont des villages Américains qui ont engendré des multinationales. Les entrepreneurs d'avenir, l'innovation et les start-up sont déjà dans nos territoires intermédiaires, il nous faut créer des écosystèmes pour les aider et les maintenir sur ces territoires. La droite a beau jeu de s'insurger contre la baisse des dotations (alors qu'elles augmentent dans le budget 2018 !) ou des contrats aidés. Leur incohérence confère ici à la malhonnêteté intellectuelle : n'ont-ils pas eu de cesse de pourfendre les contrats aidés lors de leur mise en place ? qu'ont-ils fait de 2002 à 2012 contre les inégalités territoriales ? N'ont-ils pas soutenu, il y a quelques mois, un programme supprimant 500 000 fonctionnaires et 100 milliards de dépenses publiques ? Profitant des présidences des associations des maires, départements et régions de France, elle se drape dans des postures et des effets de manche, allant jusqu'à pratiquer la politique de la chaise vide, s'agissant des régions. Le sens des responsabilités est plutôt à chercher du côté de l'Association des Communautés de France qui voit bien le sens de l'intérêt général de ce nouveau pacte girondin de contractualisations. Malheureusement la droite a eu trop longtemps la culture des baronnies locales pour faire sa mutation. Faute d'idées nouvelles, elle ressuscite Maurice BARRÈS pour se faire le chantre de la France d'hier, du terroir idéalisé. Ne leur en déplaise, hier ne reviendra pas. Le combat pour plus de justice sociale ne se jouera pas que dans les subtils équilibres à venir concernant notre modèle de protection sociale ou la redistribution de notre fiscalité, il se gagnera également, voire prioritairement dans une amélioration de l'équité territoriale. On ne peut se satisfaire de deux France, de ces deux vitesses, de ces deux électorats. À l'image des USA, où le président Barack OBAMA, avait atteint moins de 5% de chômage et 2 % de croissance, l'élection de Donald TRUMP a eu lieu du fait que les campagnes aient voté contre les grandes villes. La réussite du quinquennat et donc de la France passera par une réparation concertée de nos fractures territoriales.

  • ÉTATS GÉNÉRAUX DE L'ALIMENTATION : DES IDÉES GERMENT PARTOUT !

    Depuis le 28 août, des idées pour l'avenir de la ferme "France" germent partout sur le territoire. À mi-parcours, les États généraux de l'alimentation, voulus par le Président de la République et lancés par le Ministre de l'Agriculture, sont déjà un succès historique. Dans la 8ème circonscription des Bouches-du-Rhône, un atelier s'est déroulé à Salon-de-Provence sur le thème suivant : "Comment développer les initiatives locales et créer des synergies ? ". Un restaurateur amoureux de son terroir, un apiculteur passionné, une maraîchère en bio, une dirigeante d’un domaine oléicole, une élue municipale ou encore un simple consommateur se sont retrouvés autour d’une table pour en débattre. Quelle autre initiative est capable de réunir une telle richesse de parcours ? D'autres rendez-vous sont prévus en octobre et en novembre. Cette grande consultation nationale, qui donne la parole aux citoyens, aux acteurs du terrain, est créatrice de solutions nouvelles pour l'alimentation française, de la fourche à la fourchette. Elle se poursuit jusqu'à fin novembre, avec des sujets de discussion tels que "Lutter contre le gaspillage alimentaire", "Réussir la transition écologique et solidaire de notre agriculture" ou encore "Renforcer l'attractivité des métiers et développer la formation". La parole aux citoyens, au terrain Alors que les États généraux de l'alimentation sont en cours, M. Arnaud VIALA, député Les Républicains (LR) de l'Aveyron, a déposé une proposition de loi sur l'agriculture française. Avec cet élu de l'opposition, nous partageons des ambitions : permettre aux exploitants de vivre dignement de leur travail, accompagner la transformation des modèles de production, alléger le poids des normes... Mais nous nous éloignons sur la méthode. La proposition de loi de M. Arnaud VIALA devait être étudiée à l'Assemblée Nationale ce jeudi 12 octobre. Parce que le groupe parlementaire de La République En Marche tient à ce que les États généraux de l'alimentation se poursuivent et nourrissent une réforme prévue en 2018, une motion de rejet de ce texte a été déposée et votée. Je l'ai défendu dans l'hémicycle.

  • M. HULOT "PRÊT À DÉBATTRE DE LA RÉHABILITATION DE L’ÉTANG DE BERRE"

    "Le renouveau écologique de l'étang de Berre permettrait le retour d’une biodiversité riche, mais aussi la création de milliers d’emplois dans les secteurs du tourisme et de la pêche, à l’heure où l’industrie décline sur notre territoire." Par ces mots, et parce que la réhabilitation de cette pépite des Bouches-du-Rhône est au cœur de mes préoccupations, j'ai interrogé M. Nicolas HULOT, Ministre de la Transition Écologique et Solidaire, lors de la séance des Questions Au Gouvernement de ce mardi 10 octobre. Pendant des décennies, l'étang de Berre a malheureusement été victime de rejets conséquents de produits chimiques industriels, d’apports massifs d’eau douce provenant du canal de la Durance et de dégradations dues à une urbanisation galopante. Aujourd’hui, les associations, les élus et les habitants aspirent unanimement à la réhabilitation de cet étang. Pour réaliser cet objectif, il y a une solution : saliniser une eau devenue trop douce. Et il y a un moyen : remettre en eau le tunnel du Rove, qui reliait l’étang à la Méditerranée mais qui est aujourd’hui fermé. En avril dernier, un rapport commandé par le Ministère de l’Écologie avait jugé « possible », la mise en place d’un débit de 10 mètres cubes par seconde, grâce à un percement dans ce tunnel. J'ai donc demandé à M. Nicolas Hulot, quelles étaient ses perspectives d'action pour la réhabilitation de l'étang de Berre. "Un cri d'espoir de votre territoire" "Je tiens à vous rassurer : il n’y a pas une journée sans laquelle convergent vers moi ce cri d’espoir et cette attente partagée dans votre territoire. […] L’objectif est bien de dépolluer rapidement cet étang", a répondu le ministre de la Transition écologique et solidaire. "Suite à l’expertise que vous avez évoquée, nous avons quelques interrogations sur la méthode proposée. En effet, l’utilisation du canal du Rove […] est, en plus de son coût très important puisqu’il est estimé à 25 millions d’euros, très incertaine quant à ses résultats", a-t-il relevé. M. Nicolas Hulot a conclu : "Il nous paraît donc nécessaire d’en débattre immédiatement avec les partenaires locaux. Le ministère est prêt avec vous, sans tarder, à réfléchir sur les solutions pour l’étang de Berre."

  • L'INNOVATION AU CŒUR DES DÉPLACEMENTS DE DEMAIN

    Comment se fera la mobilité de demain, à même de concilier les besoins des usagers et les impératifs de respect de l'environnement ? Et en quoi l'innovation dans les transports peut-elle apporter des solutions à cet enjeu de société capital ? Ces questions ont été débattues le mardi 3 octobre, dans le cadre des ateliers de l'innovation des Assises de la mobilité, que j'ai eus l'honneur de présider (ci-dessous, mon discours d'ouverture). Ces échanges, avec des chercheurs, des dirigeants d'entreprises, des élus locaux et nationaux, ont été extrêmement riches. Ils ont fait ressortir l'importance d'innover sur la technique, dans les usages et selon les territoires, car les problématiques d'une grande ville ne sont pas les mêmes que celles des zones rurales ou périurbaines, comme la 8ème circonscription des Bouches-du-Rhône. À la suite de ce colloque, j'ai été reçu au ministère des Transports le jeudi 5 octobre. Élisabeth Borne, Ministre, m'a confié une mission parlementaire sur l'innovation dans les déplacements. Je rendrai un rapport avant la fin de l'année. Ses préconisations pourront donner lieu à des expérimentations. Un questionnaire et une cartographie de l'innovation Je rappelle que les Assises de la mobilité sont une grande concertation nationale qui s'appuie sur une plateforme numérique, des ateliers d'échanges sur une vingtaine de territoires, des groupes de travail thématiques et des ateliers. Dans ce cadre, une cartographie des innovations touchant la mobilité du quotidien va être établie. Les innovations recherchées peuvent relever aussi bien d’avancées technologiques que de nouvelles approches organisationnelles ou sociétales. Le questionnaire suivant permettra de faire cette cartographie : http://enqueteur.cgdd.developpement-durable.gouv.fr/index.php?sid=17677&lang=fr

  • MES 100 JOURS DE DÉPUTÉ

    Crédit photo : Assemblée nationale Chères concitoyennes, chers concitoyens, Aux élections présidentielles et législatives, vous avez exprimé la volonté de rompre avec les luttes partisanes. Ces pratiques dépassées n’ont que trop durées. J'ai entendu votre message : je serai le député de toutes les femmes et de tous les hommes de notre territoire. Après trois mois d'un travail parlementaire intense et un été studieux, je souhaitais vous présenter mes sincères remerciements. La confiance que vous m’avez accordée, ainsi qu’à mon suppléant Philippe Veran, en me désignant comme votre Député m’honore et m’oblige. J’ai la conviction que la réunion de toutes les bonnes volontés et de toutes les forces vives est la condition du progrès. C'est pourquoi je vous invite à un grand rassemblement citoyen le samedi 14 octobre à 11 heures, à la salle des fêtes de Grans. Je ferai le bilan de mes 100 jours d'action publique et je présenterai les priorités de mon mandat. Je serai ensuite à votre écoute lors d'un apéritif citoyen qui clôturera cet événement. Pour vous inscrire : cliquez ici ! Mes 100 jours de Député À l’Assemblée Nationale, j’ai voté pour les ordonnances permettant de réformer le Code du travail. Objectif : construire un environnement plus favorable aux entreprises, apporter plus de protection aux salariés et offrir plus d’opportunités aux demandeurs d’emploi. J’ai donné ma voix au vote de la loi Pour la confiance dans l’action publique, pour davantage de renouvellement, de transparence et de probité dans l’espace politique. Dans la 8ème circonscription des Bouches-du-Rhône, je suis venu à votre rencontre dès le début de mon mandat. Dans l’hémicycle, j’ai porté deux textes renforçant le dialogue entre les pouvoirs publics, les entreprises et les citoyens, sur les projets susceptibles d’avoir une incidence sur l’environnement. Des responsabilités qui m’ont placé en relation directe avec le Gouvernement. En relation avec les Ministres, je travaille sur des solutions qui permettraient de fluidifier la circulation et de faciliter les déplacements sur les routes de notre circonscription. En étroite collaboration avec les élus locaux, j’œuvre pour la réhabilitation de l’étang de Berre, qui fait partie de mes priorités pour l’avenir de notre territoire. Écoute, travail, rigueur, c’est ainsi que je conçois mon mandat de député.

  • MA PERMANENCE VOUS EST OUVERTE

    Chères concitoyennes, chers concitoyens, Je vous informe que ma permanence se trouve au 48, rue des Frères Kennedy, 13300 Salon-de-Provence. Mon équipe vous accueillera du lundi au vendredi de 09h00 à 17h00. J'y tiendrai des permanences sur RDV. Vous pouvez contacter mon secrétariat au 04.90.50.03.17, contact@jeanmarczulesi.fr Par ailleurs, vous pouvez suivre mon actualité sur ma page Facebook, Twitter et Instragram. Bien à vous, Votre Député

  • INTERVENTION AUPRÈS DE l'IRSTEA SUR LEUR APPROCHE DE LA LUTTE CONTRE LES INCENDIES

    Cet été, le département des Bouches-du-Rhône a été particulièrement touché par les feux de forêts. Le seul incendie de Saint-Cannat a ravagé environ 750 hectares. Sur l'ensemble du territoire, plus de 16 000 hectares ont brûlé en 2017. C’est l’une des pires années. Je tiens à saluer l'engagement des sapeurs-pompiers et des comités de feux de forêts. Le changement climatique et les implantations humaines font peser de nouvelles menaces sur les habitants et la végétation. Pour diminuer durablement l’intensité, la sévérité et le nombre de feux de forêts, une nouvelle approche de la gestion du territoire, de la prévention et de la lutte est indispensable. Les chercheurs de l’Institut national de Recherches en Sciences et Technologies pour l’Environnement et l’Agriculture (IRSTEA), qui disposent d'une antenne à Aix-en-Provence, travaillent sur ces problématiques. Je les ai interpellés pour préciser leur approche, lors de leur audition, mercredi 27 septembre, par la Commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire, de l’Assemblée nationale. Thomas Curt, chercheur de l'IRSTEA, a répondu qu'actuellement cinq chercheurs travaillaient sur ces problématiques, avec un pompier doctorant qui réalisent une thèse, afin d'améliorer les techniques de lutte contre les grands incendies. En effet, "le changement climatique, l’embroussaillement des paysages, la progression de la forêt, l’urbanisation et le développement des infrastructures augmentent potentiellement les départs de feu et les risques d’incendie". Réponse de Thomas Curt, chercheur de l'IRSTEA : En savoir plus : http://www.irstea.fr/accueil http://www.sdis13.fr/ http://www.comites-feux.com/

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