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  • Jean-Marc Zulesi

LOI MOBILITÉS, UNE LOI POUR RÉDUIRE L'IMPACT DE LA MOBILITÉ SUR L'ENVIRONNEMENT ET LA SANTÉ PUBLIQUE


 
« La semaine dernière a été rythmée par l’étude du projet de loi d’orientation des mobilités en commission. En tant que responsable de texte, j’ai été pleinement investi pour défendre des amendements visant, entre autres, à assurer le déploiement de solutions de mobilités propres et durables. »

Le titre III traduit les objectifs du Plan Climat en mesures concrètes pour réduire l’impact de la mobilité sur l’environnement et la santé publique.


  • Développer l’utilisation du vélo pour les petits trajets du quotidien

Alors que 58% des trajets domicile-travail de moins d’un kilomètre se font en voiture, le recours à la mobilité active est un enjeu important en France plus qu’ailleurs. Pour la favoriser, nous levons les freins à l’utilisation du vélo afin d’augmenter considérablement son utilisation.

Pour cela, nous sécurisons sa pratique en investissant pour la construction de pistes cyclables sécurisées et, par un amendement adopté en commission, nous obligeons la signalisation des angles-morts sur les poids-lourds pour les rendre visible par les cyclistes et autres usagers.


D’autre part, nous luttons contre le vol des vélos en généralisant le marquage des vélos et en imposant la création de parkings sécurisés aux abords des gares, stations de métro etc.

  • Encourager la pratique des mobilités actives ou partagées

Alors que les employeurs participent aux frais d’abonnement pour les transports collectifs, rien n’est prévu pour la gratification des trajets en vélo ou en covoiturage.

Nous créons un « forfait mobilités durables » permettant aux entreprises de verser une somme pouvant aller jusqu’à 400€ par an aux salariés qui choisissent un mode de transport permettant de réduire la pollution.

Parce que la sensibilisation est un vecteur important, nous développons l’apprentissage du vélo à l’école et, par un amendement adopté en commission, nous obligeons la promotion des mobilités actives ou partagées sur les publicités de voiture.

  • Favoriser l’utilisation de véhicules à très faibles émissions

Pour permettre le déploiement des véhicules électriques, nous facilitons l’accès aux bornes de recharge en rendant obligatoire leur installation lors de la construction ou la rénovation de parkings.

Nous permettons également au Gouvernement de soutenir la production de biogaz et réduire les coûts de compression du Gaz Naturel pour Véhicules (GNV) afin de favoriser le développement des carburants alternatifs.

  • Limiter la pollution atmosphérique

Dans certaines zones, le niveau de pollution atmosphérique est régulièrement dépassé.

Pour protéger les citoyens des effets de la pollution, nous créons les « zones à faibles émissions » afin d’interdire l’accès à ces zones aux véhicules les plus émetteurs de polluants atmosphériques pendant une période critique.

Parce que nous savons que les navires rejettent une grande quantité de gaz à effet de serre même une fois amarrés, nous permettons par un amendement la mise à disposition d’alimentations électriques dans les ports pour que les navires en escale puissent couper leurs moteurs.

 

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