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Le mois de décembre a été marqué par l’examen du projet de loi pour contrôler l’immigration et améliorer l’intégration. Suite à l’adoption en première lecture à l’Assemblée nationale, le Sénat a modifié le texte. Lors du retour du texte à l’Assemblée, les oppositions - dans une alliance des contraires - ont voté une motion de rejet du texte qui a mis fin à la possibilité d’un débat à l’Assemblée nationale, je le regrette. Lors du vote définitif en hémicycle, j’ai fait le choix de voter “pour” ce texte dans lequel nous actons des mesures nécessaires au regard de l’évolution de la question migratoire dans notre pays. Le texte sorti de la Commission Mixte Paritaire est un texte de compromis. Il n’est pas parfait, notamment sur l’ambition du volet intégration et sur le caractère inconstitutionnel de certaines mesures. Le travail mené par mes collègues en Commission Mixte Paritaire a néanmoins permis des avancées. Nos politiques d’immigration sont devenues illisibles. Ce texte rétablit de la clarté. Il replace la langue française et le travail au cœur de l’intégration. Il acte une mesure essentielle en ce sens, que nous avons réussi à maintenir dans le texte : la possibilité de régularisation sans l’accord de l’employeur des travailleurs sans papier qui sont présents sur notre territoire depuis au moins trois ans et qui travaillent dans les métiers et les zones en tension depuis un an. Ce projet de loi est aussi celui qui : sanctionne plus durement les passeurs et les marchands de sommeil, interdit le placement des mineurs en centre de rétention administratif, réduit les procédures contre le refus de droit d’asile, renforce l’accès aux cours de français pour les travailleurs, facilite l’expulsion des délinquants étrangers. En faisant primer l'intérêt de nos concitoyens, nous avons adopté ce texte, sans les voix du Rassemblement national qui persiste à instrumentaliser les Français, alors que ses députés avaient voté contre la version plus ferme du Sénat. Le Président de la République a saisi le Conseil Constitutionnel qui doit désormais donner un avis sur les différentes dispositions du texte, ce qui pourrait encore faire évoluer le texte final.

Après l’accord de la Commission Mixte Paritaire sur ma proposition de loi sur les Services Express Régionaux Métropolitains, le Sénat et l’Assemblée nationale ont tous les deux adopté définitivement le texte. C’est la dernière étape avant la promulgation de la loi ! Ce texte, dont j’ai été l’auteur et le rapporteur, est essentiel pour permettre le déploiement des projets de mobilités sur le territoire. Il se repose sur trois grands pilliers : La définition des Services Express Régionaux Métropolitains, qui donne la priorité au ferroviaire et acte la nécessité d’une approche multimodale L’élargissement des missions de la Société du Grand Paris afin qu’elle puisse utiliser son expertise dans les projets de SERM La simplification des procédures pour la mise en oeuvre des projets. L'adoption de ce texte est donc une très belle nouvelle pour la décarbonation des transports, le renforcement d’une mobilité inclusive et accessible à tous, et l’aménagement durable de nos territoires. Son adoption illustre également la capacité des parlementaires à s’accorder sur des textes essentiels et à trouver des compromis pour l’intérêt des Français. Il est en effet le fruit d’un travail transpartisan très constructif mené à l’Assemblée et au Sénat. Pour porter le texte au-delà de l'hémicycle, concrétiser les SERM et assurer le Service Après Vote auprès des élus, dès 2024, je ferai un Tour de France des SERM pour aller à leur rencontre !

Le secteur des transports représente aujourd'hui 31% des émissions de CO2. Pour que la France puisse atteindre la neutralité carbone en 2050, la décarbonation de nos déplacements est donc essentielle. Le train de nuit c’est 40 fois moins de gaz à effet de serre émis que la route et 80 fois moins que l’avion. Un moyen de transport écologique, économique et pratique pour se rendre sur les lieux de loisirs et de vacances mais aussi pour les déplacements professionnels. Il permet par ailleurs de désenclaver et revitaliser le territoire en tant qu’outil majeur d’aménagement. Depuis 2018, des réflexions se sont à nouveau engagées pour relancer des trains de nuit. Pour concrétiser cette ambition, le plan de relance a consacré 100 millions d’euros du plan de relance sont dédiés à la réouverture des premières lignes Paris-Nice et Paris-Tarbes. En 2021, ces deux lignes, ainsi que la ligne Paris-Vienne, ont été inaugurées et ont marqué le début d’une nouvelle dynamique après plusieurs années durant lesquelles de nombreuses lignes nocturnes ont fermé. Pour continuer dans cette dynamique, deux nouvelles lignes ont été relancées en décembre : la ligne Paris-Aurillac et la ligne Paris-Berlin ! J’étais avec le ministre des Transports à la Gare de l’Est pour l’arrivée du premier train Paris-Berlin. C’est une belle avancée pour l’Europe et pour la transition écologique de nos déplacements. Continuons d’encourager l’utilisation du train de nuit ! Une alternative à la route et l’avion, moins émettrice de CO2, pratique pour optimiser son temps de trajet, et plus économe. L’objectif : atteindre une dizaine de lignes de train de nuit d’ici 2030 !

3 ans après l'assassinat de Samuel Paty, l'école et la République ont de nouveau été attaquées avec l'assassinat de Dominique Bernard, survenu le 16 octobre. Dans le cadre de la journée nationale de la laïcité, plusieurs villes des Bouches-du-Rhône ont organisé une cérémonie d'hommage à la mémoire de ces deux enseignants. Je me suis joint aux élus de Berre l’Etang pour signifier notre plus ferme condamnation de ces actes obscurantistes, et pour appeler à l’unité autour des valeurs qui nous rassemblent : la liberté, l’égalité, la fraternité et cette valeur si singulière qui fonde notre pacte républicain, la laïcité. Si chaque vie détruite par ces attaques ignobles est inacceptable, l’attaque d’un professeur est encore plus lourde de sens, car elle cherche à ébranler les fondements de notre République. Elle vise à imposer la terreur et la soumission face à l’enseignement émancipateur de la raison, de la tolérance et de l’esprit critique. Le 5 décembre était une journée pour soutenir et rappeler solennellement notre reconnaissance pour toutes celles et ceux qui, à travers la noble mission de l’éducation nationale et de l’instruction publique, dédient leur vie à la plus belle des œuvres : la transmission. Je continuerai à les défendre et à me faire le relais de leur engagement quotidien pour une éducation républicaine et émancipatrice.

Le 4 décembre, comme chaque année, je me suis rendu aux centres de secours de Salon-de-Provence, Pélissanne, Berre l’Etang et de la Basse Vallée de l’Arc pour célébrer la Sainte-Barbe aux côtés des pompiers et sapeurs-pompiers de notre circonscription. Cette journée est l’occasion de rendre hommage à celles et ceux qui font preuve d'un dévouement exceptionnel, prêts à se sacrifier pour sauver des vies. Il s’agit également d’un moment privilégié pour introduire solennellement les nouveaux effectifs, saluer la carrière émérite des soldats du feu qui partent à la retraite, mais aussi pour se recueillir et se rappeler de celles et ceux qui ont été blessés ou qui ont péri dans l’exercice de leurs fonctions. Les multiples épisodes de canicules et incendies qui ont de nouveau frappé notre circonscription en 2023, nous rappellent que nos sapeurs-pompiers sont également des soldats du climat, grands témoins du changement climatique. Face à la multiplicité des crises naturelles, ils font preuve d'un dévouement sans faille, assumant à la fois des missions de lutte contre les incendies et de secours aux personnes. C’est pourquoi, j’ai tenu à réaffirmer ma forte volonté de protéger celles et ceux qui nous protègent au quotidien. Au cours de l’année 2023, j’ai pu soutenir et voter de nouveaux textes en faveur des pompiers. En effet, dans la lignée de la Loi Matras, adoptée le 25 novembre 2021, qui donne une importance cruciale au volontariat dans les centres de secours, de nouveaux textes visant à permettre plusieurs avancées pour les pompiers ont vu le jour : ➔ La loi LOPMI (loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur), promulguée le 24 janvier 2023, prévoit : La mise en place d’actions ciblées dans les territoires prioritaires pour encourager les recrutements chez les sapeurs-pompiers professionnels ou volontaires ; La consolidation du modèle de volontariat chez les sapeurs-pompiers ; La modernisation de l’Ecole nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers. ➔  Un dispositif de lutte contre les feux de forêts 2023 renforcé : Mise en place du Fonds vert doté de 2 Milliards d’euros pour accélérer la transition écologique dans les territoires Renforcement de la prévention avec une campagne sur les obligations légales de débroussaillement Au cours des trois prochaines années et conformément à mes engagements, je continuerais à prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir des moyens d’actions à nos héros du quotidien. Le travail continue !

Je me suis rendu samedi 2 décembre au Village des Tortues à Carnoules, aux côtés des représentants de l’Office Français de la Biodiversité (OFB) et de la Française des jeux, pour rencontrer et soutenir les porteurs d’un des 20 projets retenus dans le cadre du jeu de grattage « Mission nature », lancé le 23 octobre dernier. À l’image de la Mission Patrimoine, ce jeu de grattage permet de financer des projets de sauvegarde de milieux naturels, à hauteur de entre 50 000 à 1 million d’euros, en accompagnant l’OFB. Ouvert au public, l'événement a permis à la Station d'Observation et de Protection des Tortues et de leur Milieux (SOPTOM) et au Village des tortues d’expliquer les objectifs fondamentaux de leur projet intitulé : « réhabilitation post-incendie des populations de tortue d'Hermann: de la conservation ex-situ à la mise en œuvre opérationnelle in-situ sur le Cap Taillat ». Je suis particulièrement fier d’avoir porté ce beau projet dans le budget 2023 et de le voir prendre vie. Le travail continue pour démocratiser l’écologie et pérenniser le soutien apporté aux 20 associations engagées pour la préservation de la Biodiversité en France Métropolitaine et dans les DROM-COM ! Pour plus d’informations sur les projets : https://www.ofb.gouv.fr/mission-nature

Le Salon des Maires et des Collectivités Locales est un moment fort pour les acteurs alliés des élus locaux pour leur projets de territoires. C’est l’occasion pour les élus de découvrir les acteurs engagés dans le développement de solutions innovantes pour des services publics plus simples et plus efficaces. Transition écologique et énergétique, développement des mobilités, accessibilité… sur toutes ces thématiques, j’ai senti une réelle dynamique de la part de ces acteurs pour accompagner les territoires dans leurs projets ! Je me suis notamment rendu sur le stand de La Poste, qui m’a présenté ses services, avec une démarche particulièrement innovante en termes de revitalisation des territoires et de diminution de leur impact carbone. J’ai également échangé avec la Macif, particulièrement engagée sur le développement de services de mobilité automatisée partagée pour permettre aux collectivités d’offrir des solutions de transports dans les zones qui en sont dénuées. Je me suis également rendu sur le stand de la Fédération Française des Jeux pour présenter la Mission Nature avec Sarah El Haïry, Secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité, et l’Office Français de la Biodiversité. L’occasion de rappeler une nouvelle fois l’utilité de cet outil pour permettre aux citoyens d’être acteurs de la préservation de la biodiversité partout sur le territoire et de découvrir les associations locales engagées dans la protection de nos écosystèmes. Enfin, la présence des élus des Bouches-du-Rhône à Paris m’a permis d’accueillir les maires de la circonscription à l’Assemblée nationale. Après une visite de l’Assemblée nationale, nous avons eu l'occasion d’échanger sur l'actualité de la circonscription, mais aussi sur le rôle des élus locaux dans nos institutions. Merci à nos élus pour leur engagement auprès de tous les citoyens !

Comme promis pendant ma campagne électorale, j’ai porté au niveau national la nécessité d’augmenter les effectifs de police pour améliorer la sécurité des habitants de la circonscription. En novembre, une nouvelle étape a été franchie avec l’intégration de sept nouvelles recrues au commissariat de Salon-de-Provence. Le Ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin avait annoncé cette mesure en mars 2022 et c’est avec une grande fierté que nous les avons accueillis. L’arrivée de ces nouvelles recrues répond à la volonté gouvernementale de renforcer la sécurité publique partout sur le territoire. L'ajout de ces effectifs est d'autant plus crucial que les procédures deviennent plus complexes, répondant ainsi à une attente réelle des citoyens. Ces renforts permettront d’améliorer l’efficacité des services de police sur le terrain et dans le traitement des dossiers, mais aussi d’améliorer la complémentarité entre la police nationale et la police municipale à Salon-de-Provence. Cette cérémonie m’a donné l’occasion de saluer le courage et l'engagement de ces nouvelles recrues, et de souligner l'importance de leur rôle pour assurer la sécurité de nos concitoyens.

Depuis de nombreuses années, je suis engagé pour la réhabilitation des lignes de desserte fine du territoire, comme celle d’Aix-Rognac. C’est un enjeu majeur car ces lignes répondent aux besoins des habitants de notre territoire et constituent un maillon complémentaire au Réseau Express Métropolitain qui doit se construire dans les prochaines années. Pour faire avancer ce projet, j'ai convié Jean-Pierre Farandou, Président-directeur général de la SNCF, à une visite de terrain. Grâce aux échanges avec les acteurs du terrain, nous avons pu constater les aménagements et travaux qu’impliqueraient la réouverture de cette ligne. Aux côtés de plusieurs élus, nous avons suivi cette ligne ferrée d’une importance capitale pour nombre de concitoyens. En effet, en plus d’offrir une alternative au tout-voiture, cette ligne, actuellement réservée aux trains de marchandises pourrait s’inscrire dans un maillage ferroviaire plus vaste permettant de relier la vallée de la Durance à l’Étang de Berre par le rail. Cette visite s’inscrit dans la lignée de ma volonté de développer les mobilités du quotidien en misant sur le déploiement d’une offre ferroviaire fiable et accessible sur le territoire. Je reste pleinement mobilisé.

Je me suis rendu au Salon du Made in France pour aller à la rencontre des entrepreneurs français engagés dans une démarche responsable. Ce Salon, qui se déroule pour la 12ème édition, est le plus grand événement célébrant la fabrication française. Il regroupe plus de 1000 exposants et permet à ses visiteurs de découvrir le savoir-faire et les produits des entreprises françaises, tous secteurs confondus : mode, déco, gastronomie, innovation, high-tech, enfance, tourisme … et bien d’autres encore ! Engagé sur les thématiques de développement durable et d’économie circulaire, j’ai souhaité aller à la rencontre d’entrepreneurs français engagés dans une démarche responsable. Avec la Fédération des Entreprises et Entrepreneurs de France, j’ai échangé avec plusieurs entreprises comme : La Brosserie Française, Malongo France, HARi&CO et Well pour découvrir leurs produits et leur histoire. J’ai été particulièrement touché par la démarche de Bioseptyl, qui fait partie du groupe La Brosserie Française. Fabricant de brosse à dent résolument déterminé à démontrer qu’il est possible d’être éco-respectueux à grande échelle, cette entreprise est l’une des rares marques qui offre une maîtrise totale du cycle de vie. Je me suis également rendu sur le stand de la Savonnerie Marius Fabre, implantée depuis des générations dans ma circonscription. Ces entreprises, innovantes et engagées, constituent le savoir-faire français. Elles sont de véritables atouts pour la souveraineté de notre pays ! Avec le Plan France Relance et France 2030, l’Etat encourage le Made in France et répond à une demande de plus en plus forte exprimée par les Français sur la volonté de consommer des produits locaux issus de circuits courts. Depuis 2017, 1,7 million d’emplois et 300 usines ont été créés et 158 relocalisations ont été actées. Continuons à soutenir le Made in France, la relocalisation et la préservation des emplois !

Avec mon collègue député François Cormier-Bouligeon, député du Cher, nous avons convié Julien Pierre, ancien champion international de Rugby et fondateur du label Fair Play For Planet à un petit déjeuner autour de l’écologie dans le sport. Devant une quinzaine d’autres députés, il nous a présenté ce label et la raison de sa création. Transports, alimentation, gaspillage, bilan carbone : les axes d’amélioration sont nombreux pour le milieu sportif. Par exemple, selon l’Ademe, une manifestation-type de 5 000 personnes génère en France plus de 2,5 tonnes de déchets, consomme plus de 1 000 kWh d'énergie et 500 kg de papier. Parce qu’il touche particulièrement notre jeunesse et qu’il est très médiatisé, le secteur du sport a un devoir d’exemplarité en matière d’impact, sur notre planète et sur nos sociétés. Des solutions existent pour tendre vers un sport plus sobre en consommation d’énergie, adapter les pratiques sportives au changement climatique et renforcer l'éco responsabilité des acteurs du sport. L’objectif de Fair Play for Planet : effectuer un état des lieux sur l'impact environnemental des clubs, les sites et les évènements sportifs. Après cette première évaluation, cet organisme accompagne les sites et évènements sportifs pour améliorer leurs pratiques et engager un changement. En tant qu'élus, nous pouvons être les relais auprès des collectivités territoriales et des acteurs du monde sportif pour s'engager dans des pratiques plus responsables. Accompagnons-les vers des démarches ambitieuses pour que le sport soit aussi bénéfique pour notre santé que pour celle de notre planète !

Le 3 novembre dernier, aux côtés du Sénateur Jean-Baptiste Blanc, nous avons exposé aux municipalités du département l’ambition d’atteindre le zéro artificialisation nette (ZAN) pour 2050, un sujet qui suscite des préoccupations parmi certaines municipalités. Sur la dernière décennie, la France a perdu en moyenne 24 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers par an. Face à l’urgence, la loi Climat et résilience, promulguée en août 2021, a fixé l'objectif du Zéro Artificialisation Nette d'ici 2050, avec une réduction de moitié de la consommation d'espaces naturels, agricoles et forestiers dans les dix prochaines années. Pour mieux comprendre ces enjeux et discuter de la mise en pratique sur le terrain, j’ai organisé cette réunion d'information avec le Sénateur Jean-Baptiste Blanc. L’occasion pour les municipalités d'exprimer leurs préoccupations et de partager les bonnes pratiques pour répondre au défis liés à l’effort de sobriété foncière dans une période marquée par la crise du logement. Jean-Baptiste Blanc a notamment souligné la complexité de l'équilibre entre le droit à l'environnement et le droit au développement, appelant à une "méthode de densité douce" pour parvenir à une solution durable. Les questions entourant les grands projets ont également été abordées, suggérant des solutions telles que la "forfaitisation des hectares" ou le transfert de droits entre les municipalités. Les élus ont régalement partagé leurs questionnements, notamment en ce qui concerne les logements sociaux et les implications concrètes de ces nouvelles directives. J’ai souligné la nécessité de revoir la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain (SRU), soulignant les défis auxquels sont confrontés certains maires. Ces échanges avec les élus des territoires sont importants pour assurer le Service Après Vote des lois que nous votons à l’Assemblée nationale et s’assurer de leur cohérence avec les problématiques des territoires. Le travail continue !